Les autorités italiennes ont violé la Convention EDH en n'ayant pas agi avec une promptitude suffisante et avec une diligence raisonnable dans une affaire de violences conjugales, laissant ainsi l'ex-compagnon jouir d’une impunité totale.
La requête concerne les obligations positives découlant des articles 3 (torture, traitements inhumains ou dégradants) de la Convention européenne des droits de l'Homme dans un contexte de violences et de harcèlement subis (...)Cet article est réservé aux abonnés